Quelques heures à peine après la démonstration de force du Paris Saint-Germain face à l’Inter Milan (5-0) en finale de Ligue des Champions, DJ Snake et Niska, supporters de la première heure, ont frappé fort. Leur nouveau titre "PSG Boyz Freestyle", lâché comme une bombe sur les réseaux, s’impose déjà comme l’hymne non officiel d’un sacre qui entre dans la légende du football français.
Un cri de ralliement pour les vrais Parisiens
Pensé pour les virages et les vestiaires, "PSG Boyz Freestyle" parle directement à la communauté la plus fidèle du club. Ici, Paris ne se résume pas à un maillot, c’est une identité, une fierté viscérale. Le morceau est brut, nerveux, sans détour. Une déclaration d’amour rugissante à un club mythique.
Des références qui parlent aux fans
« Paris, ma ville, elle est magique », scande Niska dans un refrain devenu viral en quelques heures. Le rappeur cite des piliers actuels comme Hakimi, Mendes et Barcola, tout en rendant hommage à Amara Diané, héros inattendu du maintien en 2008. Un clin d’œil qui fait mouche auprès des supporters les plus aguerris. D’abord publié sur Instagram, le morceau a été repris par plusieurs joueurs du PSG, preuve de son impact immédiat.
Un duo explosif : Niska & DJ Snake, l’alchimie du terrain au studio
Niska impose une fois de plus sa marque : un rap cru, percutant, dans la veine de son mythique Matuidi Charo (2015), déjà un classique des tribunes du Parc. À ses côtés, DJ Snake livre une production tendue, à mi-chemin entre trap et électro, taillée pour faire vibrer autant les stades que les soirées. Un binôme gagnant, en osmose avec l’euphorie collective.