SHALLIPOPI FRAPPE FORT AVEC "LAHO II" : UN REMIX SURVOLTÉ EN FEATURING AVEC BURNA BOY

L’étoile montante de l’afrobeat nigérian, Shallipopi, poursuit son irrésistible ascension avec la sortie très attendue du remix de "Laho II". Pour ce nouveau chapitre, l’artiste n’a pas fait les choses à moitié : il s’est entouré du géant mondial Burna Boy pour une collaboration explosive qui mêle énergie brute, identité locale et puissance internationale.


Une collaboration de haut vol entre deux générations

Avec "Laho II", Shallipopi revisite son propre hit en y injectant une dose de prestige et de puissance. L’arrivée de Burna Boyfigure emblématique et porte-drapeau de l’afrobeat sur la scène mondiale – vient sublimer le morceau avec une intensité nouvelle. Ce remix incarne la rencontre parfaite entre deux générations d’artistes nigérians : l’un qui règne déjà sur les charts internationaux, l’autre en pleine conquête planétaire.


Un hit planétaire en devenir

Le morceau original "Laho", sorti plus tôt cette année, cumule déjà plus de 43 millions d’écoutes dans le monde. Avec cette nouvelle version, "Laho II" ambitionne de repousser les frontières. La synergie entre le style distinctif de Shallipopi, audacieux, ancré dans les sonorités de Benin City et le charisme vocal de Burna Boy donne naissance à un remix puissant, pensé pour résonner dans les playlists du monde entier. 

Depuis sa signature chez "Since ’93", label prestigieux derrière des artistes comme Tems, Tyla ou encore Cat Burns, Shallipopi  ne cesse de faire monter la température autour de lui. "Laho II" n’est pas seulement un remix, c’est un véritable tremplin.


L’afrobeat en pleine mutation

Cette sortie s’inscrit dans un moment clé pour l’afrobeat, en constante évolution. "Laho II" n’est pas qu’un simple morceau revisité : c’est une déclaration artistique, une célébration des rythmes nigérians, et un signal fort envoyé à l’industrie musicale mondiale. En associant son énergie à celle de Burna Boy, Shallipopi confirme sa place parmi les talents les plus prometteurs du continent.

Avec "Laho II", il ne fait aucun doute que l’afrobeat continue de résonner bien au-delà de ses frontières, et Shallipopi y joue désormais un rôle central.

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