Pour sa saison 4, qui débarque le 31 octobre sur Netflix, Nouvelle École s’engage dans une refonte audacieuse du concept original. Netflix annonce que les deux figures centrales seront SCH et SDM, qui joueront désormais le rôle de coachs et non simplement de jurés. Le format du duel entre les deux équipes qu’ils formeront promet des confrontations plus stratégiques et personnalisées. L’émission met fin à la présence d’une troisième tête dans le jury, notamment avec le départ d’Aya Nakamura. Cela installe une dynamique plus conflictuelle et verticale entre les deux mentors et leurs talents.
Les coachs au cœur de la compétition
Avec SCH et SDM aux commandes, le mode de fonctionnement de la saison 4 mise sur la sélection d’équipes et la mise en valeur individuelle. Chaque coach devra dénicher, guider, et défendre ses talents face à l’autre durant toute la compétition. Ce face-à-face entre deux piliers du rap français promet des joutes artistiques intenses, où le choix des candidats sera crucial. Le public pourrait même jouer un rôle amplifié dans le verdict, selon certains articles évoquant un plus grand pouvoir aux spectateurs. Cette approche rompt avec les saisons précédentes où le jury collectif dominait le jugement.
Absence d’Aya Nakamura et ses répercussions
L’un des changements les plus marquants concerne l’absence d’Aya Nakamura, qui ne rempile pas pour cette édition. Son retrait du jury laisse un vide artistique et symbolique dans l’équilibre du programme. Netflix a pris le parti de ne pas la remplacer, officialisant un format à deux coachs plutôt qu’à trois juges. Certains fans interrogent déjà la perte d’une dimension féminine ou d’une vision diversifiée dans le panel. Toutefois, cette épuration pourrait renforcer l’identité du duel entre SCH et SDM.